Je suis sans emploi
Mis à jour le 22/11/2024
Vous avez perdu votre emploi, vous avez dû réduire votre activité ou vous n’avez pas ou peu de revenus : ces situations peuvent impacter fortement votre quotidien. Ne vous en faîtes pas, des aides existent pour faire face à ces difficultés. Selon votre situation, vous pouvez avoir droit à des aides. Faisons le point.
Je ne m’en sors pas financièrement
Sans emploi, il peut être difficile de maintenir un bon niveau de vie et de faire face aux dépenses quotidiennes. Les factures s'accumulent, les ressources financières s'amenuisent et la pression financière peut devenir écrasante. Vous pouvez vous retrouver confronté à des difficultés pour payer le loyer, les factures et pour acheter de la nourriture et des produits de première nécessité. Dans cette situation, il est compréhensible que vous vous sentiez dépassé voire désespéré.
Les situations financières difficiles sont souvent mal vécues et peuvent vous faire entrer dans un cercle vicieux. Pourtant, malgré les difficultés financières, beaucoup d'entre vous ne font pas appel aux aides sociales disponibles. Et les raisons pour cela sont nombreuses : par méconnaissance des dispositifs d'aide, par leur apparente complexité, par crainte du jugement social ou même par fierté. Cependant, il est important de savoir que vous n'êtes pas seul et qu'il existe des ressources disponibles pour vous soutenir dans cette période difficile. On vous aide à y voir plus clair.
Le Revenu de solidarité actif (RSA) : un minimum de revenu pour les dépenses du quotidien
Le RSA est une aide financière qui permet de garantir un revenu minimum aux personnes sans ressources suffisantes pour subvenir à leurs besoins.
Qui peut en bénéficier ?
Pour être éligible au RSA, vous devez être âgé d'au moins 25 ans (ou avoir moins de 25 ans avec un enfant à charge), résider en France de manière stable et avoir des ressources inférieures à un certain plafond.
Quelle est le montant ?
Le montant du RSA varie en fonction de la composition de votre foyer, de vos revenus et de vos charges familiales.
Comment faire la demande ?
Depuis le portail mesdroitssociaux.gouv.fr, vous avez la possibilité de vérifier si vous êtes éligible au RSA et effectuer votre demande directement en ligne.
> Vérifiez votre éligibilité et faites votre demande
L’Aide personnalisée au logement (APL) : une aide pour payer son loyer
La crainte de ne pas pouvoir payer son loyer tous les mois peut générer du stress et de l'angoisse. Les retards de paiement ou les risques d'expulsion sont des menaces qui peuvent accroitre cette précarité financière déjà existante.
L'APL est une aide financière destinée à réduire le montant de votre loyer.
Qui peut en bénéficier ?
Pour être éligible à l'APL, vous devez être locataire, résider en France de manière stable, et vos ressources ne doivent pas dépasser certains plafonds.
Quel est le montant ?
Le montant de l'APL dépend de plusieurs facteurs, notamment vos revenus, la composition de votre foyer et le montant de votre loyer ou de vos mensualités de prêt.
Comment en bénéficier ?
Depuis le portail mesdroitssociaux.gouv.fr, vous avez la possibilité de vérifier si vous êtes éligible à l’APL et effectuer votre demande directement en ligne.
> Je vérifie mon éligibilité et fais ma demande
Pour aller plus loin
Le RSA
Les allocations au logement
Faire une simulation de vos droits sociaux : mesdroitssociaux.gouv.fr
Sept conseils pour gérer son budget
Savoir gérer son argent, cela s’apprend. Pour éviter les galères et se projeter dans l’avenir, voici quelques conseils bien utiles pour un budget maîtrisé.
1. S’informer, se faire accompagner
Tenir un budget demande un peu de rigueur, mais une fois les bonnes habitudes prises, cela permet de vivre plus sereinement et d’avancer dans ses projets.
Pas besoin d’avoir fait des études de comptabilité pour apprendre à tenir un budget. En général, il est recommandé de bien lister ses revenus (salaires, pensions, allocations…) et ses dépenses fixes (loyer, remboursement, charges…). Cela permet de savoir avec précision de combien vous disposez chaque mois, c’est ce qu’on appelle le « reste à vivre ».
Il est aussi question d’adopter de bons réflexes, comme le fait de vérifier ses comptes régulièrement, pour éviter d’être à découvert et de payer des frais inutiles. Aussi, pensez à vérifier si vous percevez bien toutes les aides auxquelles vous avez droit : les adhérents à la MSA peuvent solliciter auprès de leur caisse un rendez-vous prestations pour faire le point avec un conseiller. Des simulateurs sont aussi disponibles sur mesdroitssociaux.gouv.fr.
Si vous pensez avoir besoin d’un accompagnement ou si vous faites face à des difficultés ou à un changement de vie, vous pouvez vous tourner vers les Points conseil budget (PCB), qui proposent un accompagnement gratuit, anonyme et personnalisé. Il existe plus de 500 centres labélisés par l’Etat à travers le territoire. N’hésitez pas à les contacter, vous y serez conseillé sans jugement et avec beaucoup de bienveillance et de pédagogie.
Trouver un Point conseil budget près de chez soi
Certaines associations, comme La Fondation Crésus, proposent aussi des ateliers budgétaires gratuits en ligne ou en présentiel selon la même philosophie. Renseignez-vous auprès de votre commune et de son Centre d’action sociale (CCAS) ou encore d’une assistante sociale pour trouver ce qui existe près de chez vous.
Vous pouvez aussi en parler à votre banquier. Certaines banques mettent en place des dispositifs pour aider à gérer son budget.
Méfiez-vous des formations en ligne payantes ou des conseils d’influenceurs sur les réseaux sociaux, mieux vaut privilégier les structures gratuites ou les associations labélisées par l’Etat.
2. Utiliser des outils de gestion
Pour tenir son budget, rien de tel qu’un tableau bien pensé avec des colonnes pour les revenus et les dépenses. L’association « La finance pour tous » propose des modèles à imprimer ou à utiliser sur excel ou en ligne. Ils sont gratuits et très bien pensés, n’hésitez pas à vous en servir.
Télécharger les outils de « La finance pour tous »
Certaines banques vous proposent aussi des outils de gestion budgétaire via leur application.
3. Epargner pas à pas
Quand on démarre dans la vie active ou que l’on dispose de petits revenus, on ne pense pas forcément à mettre de côté. Pourtant, toute épargne, même modeste, est essentielle pour faire face aux aléas de la vie. Commencez par mettre de côté une petite somme chaque mois, et essayez d’augmenter au fur et à mesure. Votre banquier pourra vous renseigner sur les livrets d’épargne règlementés (Livret A, livret d’épargne populaire…) adaptés à votre situation.
En général, il est conseillé d’avoir deux types d’épargne : l’une pour faire face à des imprévus (panne, réparation, accident de vie…) et l’autre pour les loisirs, les projets ou les vacances... L’idéal est d’avoir une épargne qui correspond à 3 à 6 mois de salaires (selon les revenus) et sur des livrets différents.
4. Emprunter avec raison
Si vous avez besoin d’emprunter, gare aux crédits à la consommation ! Des organismes privés prêtent facilement via ce système, mais les taux d’intérêt sont très élevés, et quand on accumule ce type de crédits, le risque de surendettement est très important.
Renseignez-vous plutôt auprès de votre banque pour étudier les possibilités. Si vous n’arrivez pas à obtenir un crédit bancaire, il est possible de solliciter un microcrédit, une solution de financement accessible aux personnes qui ont des projets personnels ou professionnels et qui disposent de peu de revenus. Ce n’est alors pas une banque qui prête, mais un service d’accompagnement social ou une association spécialisée. Le taux du crédit est situé en général entre 1,5 et 4 % et il n'a pas de frais de dossier. La banque de France propose un annuaire de ces structures. Certaines associations comme l’Adie sont spécialisée dans le microcrédit pour lancer son entreprise.
5. Penser à la mensualisation
Pour éviter les mauvaises surprises, essayer au maximum de mensualiser vos dépenses. La plupart des fournisseurs d’énergie le propose, ainsi que les assurances ou les impôts... Cela permet d’éviter d’avoir à payer une grosse somme d’un coup, que l’on n’a pas forcément anticipée.
6. Réagir vite en cas de difficulté
Mieux vaut prévenir que guérir ! L’adage vaut pour la santé mais aussi pour nos finances. En cas de difficulté, n’attendez pas pour réagir : plus vous agissez tôt, plus il est facile de mettre en place des solutions. Un souci pour payer votre loyer ? Contactez votre propriétaire ou votre bailleur en amont pour proposer une solution à l’amiable (comme un délai de paiement).
En cas de difficultés financières, d’accumulation de dettes, vous pouvez être conseillé dans les Points conseil budget (PCB). Vous pouvez aussi vous tourner vers les Centres communaux d’action sociale (CCAS). Sur le site « Mes questions d’argent » de la Banque de France, vous trouverez aussi des conseils et outils.
7. Dépenser malin
Cela semble évident, mais ça va mieux en le disant. Tenir un budget, c’est aussi adopter de bons réflexes de consommation. Pour éviter une facture d’énergie trop salée, adoptez les bons gestes : chauffer à 19 degrés, faire la chasse aux courants d’air avec des rideaux thermiques ou des boudins de porte, fermer ses volets le soir, éteindre la box internet et les multiprises la nuit...
Côté achats du quotidien, pourquoi ne pas tester le reconditionné, les magasins de déstockage, la revente entre particuliers, les fripes ou encore les vide grenier ?
Attention également aux petites dépenses du quotidien qui peuvent s'accumuler et déséquilibrer votre budget.
Vous l’aurez compris, tenir un budget c’est un peu de bon sens, une certaine discipline et de l’inventivité, mais c’est surtout mettre toutes les chances de son côté pour se construire un avenir serein !
Je suis séparé et je rencontre des difficultés financières
La séparation peut être une épreuve difficile à traverser. En demandant les aides sociales auxquelles vous avez droit et en bénéficiant d'un accompagnement adapté, vous pourrez surmonter ces difficultés, envisager l'avenir avec plus de sérénité et veiller au bien-être de vos enfants.
Comment fixer ou modifier le montant d’une pension alimentaire ? Pour tout comprendre, rendez-vous sur service.public.fr. A noter, qu’en cas de désaccord avec l'autre parent sur le montant de la pension alimentaire, vous avez la possibilité de solliciter la MSA. Le service public des pensions alimentaires de la MSA accompagne tous les parents séparés ou en cours de séparation. Ce service, géré par l’Agence de recouvrement et d’intermédiation des pensions alimentaires (Aripa), vise à faciliter le versement de pensions alimentaires fixées lors d’une séparation et à préserver l’intérêt des enfants
Plus d’informations sur le Service public des pensions alimentaires de la MSA
Le recouvrement des pensions alimentaires impayées
Si vous êtes dans une situation où la réception des pensions alimentaires pose problème, ce service peut intervenir pour vous accompagner et faciliter les démarches. Le Service public des pensions alimentaires peut en effet vous aider à obtenir le versement des sommes dues. Il peut notamment prendre en charge le recouvrement des pensions impayées et mettre en place des actions pour garantir le respect de vos droits.
La médiation familiale
En cas de conflit familial lié au paiement des pensions alimentaires, ce service peut vous proposer une médiation familiale. Cette démarche vise à favoriser le dialogue entre vous et votre ex-conjoint et à trouver des solutions amiables pour régler le litige. Les conflits pouvant faire l’objet d’une médiation : séparations conjugales, conflits intergénérationnels (parents/adolescents, fratrie, grands-parents/parents…), problèmes de succession, difficultés de communication entre aidants et personnes dépendantes, désaccords entre fratries pour des prises de décision relative à la perte d’autonomie d’un membre de la famille, conflits autour de la gestion de l’exploitation...
L’allocation de soutien familial (ASF)
L’ASF est versée lorsque vous élevez seul un ou plusieurs enfants partiellement ou totalement privés de soutien familial ou pour compléter une pension alimentaire fixée dont le montant est faible. Elle est également versée aux couples ayant recueilli un enfant.
L'ASF n'est pas soumise à conditions de ressources. Vous pouvez bénéficier de l’ASF si :
- vous êtes le parent ou le tiers recueillant et avez l'enfant à votre charge ;
- vous vivez seul(e) ou dans le cas où vous avez recueilli un enfant, en couple ;
- ou l'enfant est orphelin de père et/ou de mère ou n'est pas reconnu par son père et/ou sa mère ;
- ou le père et/ou la mère de l'enfant se soustraient ou ne peuvent pas faire face à leurs obligations d'entretien.
> Je consulte le montant de l’allocation de soutien familial (ASF)
Pour bénéficier de ces dispositifs, rendez-vous sur le service en ligne : service-pensionalimentaire.msa.fr
Soutien psychologique
Les travailleurs sociaux de la MSA peuvent vous fournir une écoute attentive et des conseils pour faire face aux émotions et aux défis psychologiques liés à la séparation ou au divorce. Ils peuvent également vous orienter vers des psychologues ou des thérapeutes spécialisés dans la gestion des problèmes relationnels et émotionnels. Rapprochez-vous de votre MSA pour être mis en relation avec un travailleur social.
Concernant la santé mentale de vos enfants, sachez que dans le cas où un problème est identifié, le psychologue scolaire peut prendre contact avec vous pour en discuter. Le psychologue de l'Éducation nationale est un professionnel spécialisé dans le domaine de l'éducation. Son rôle est de contribuer au bien-être des élèves, à leur réussite scolaire et à leur développement personnel.
Je ne renonce pas à mes soins
Se rendre chez le médecin, acheter des médicaments, faire des analyses… Prendre soin de sa santé a un coût. Dans le rythme effréné de la vie quotidienne, il est parfois tentant de sacrifier sa santé pour répondre à d'autres priorités, surtout pour les foyers aux revenus modestes.
Les dépenses de santé peuvent souvent être mises de côté au profit de dépenses jugées plus essentielles tels que le loyer, les courses alimentaires ou encore les dépenses pour les enfants.
Pourtant, renoncer à ses soins c’est s’exposer à des risques pouvant avoir des conséquences graves à long terme : aggravation de problèmes de santé existants, complications qui auraient pu être évitées, impact sur la qualité de vie, coûts de santé plus élevés à long terme…
Source : DRESS - Renoncement aux soins : la faible densité médicale est un facteur aggravant pour les personnes pauvres
Pour éviter d’en arriver là, des aides existent pour permettre aux personnes ayant de faibles revenus de pouvoir se soigner à moindre coût.
La Complémentaire santé solidaire : une complémentaire à 1 € par jour ou moins
La Complémentaire santé solidaire (CSS) vous permet de bénéficier d'une prise en charge totale ou partielle des dépenses de santé non couvertes par la Sécurité sociale de base, notamment les consultations médicales, les médicaments, les soins dentaires et les frais d'hospitalisation Vous avez également accès aux soins prothétiques dentaires, à l'optique, aux aides auditives, mais aussi à certains autres dispositifs médicaux comme les pansements, les cannes ou les fauteuils roulants sans reste à charge.
Qui peut en bénéficier ?
Vous avez droit à la Complémentaire santé solidaire si :
- vous bénéficiez de l’assurance maladie,
- et vous ne pas dépassez la limite maximum de ressources.
> Je veux savoir si j’ai droit à la Complémentaire santé solidaire
A noter
Si vous bénéficiez du RSA, la Complémentaire santé solidaire vous est attribuée automatiquement, sauf demande de votre part.
Combien ça coûte ?
En fonction de vos ressources, la Complémentaire santé solidaire peut ne rien vous coûter rien ou vous coûter moins de 1 € par jour et par personne.
Comment en bénéficier ?
Depuis le portail mesdroitssociaux.gouv.fr, vous avez la possibilité de vérifier si vous êtes éligible à la Complémentaire santé solidaire et effectuer votre demande directement en ligne.
> Je vérifie mon éligibilité et fais ma demande
L’offre 100 % santé
L'accès aux soins optiques et dentaires constitue souvent un défi financier pour de nombreuses personnes, en particulier celles aux revenus modestes. Alors que la santé visuelle et bucco-dentaire est essentielle pour le bien-être général, le coût élevé des lunettes et des dispositifs dentaires peut s’avérer être dissuasif.
Pourtant, il existe une gamme de produits médicaux disponibles dans des magasins partenaires qui sont prise en charge à 100 % par votre organisme de sécurité sociale : il s’agit de l’offre 100 % santé.
Qui peut en bénéficier ?
Vous pouvez en bénéficier dès que vous êtes couvert par un contrat de complémentaire santé responsable.
Quels sont les soins et équipements concernés ?
Les soins et équipements du 100 % santé concernent :
- le dentaire : couronnes, bridges et prothèses amovibles (dentiers) ;
- l'optique : un équipement composé de verres et d'une monture ;
- les aides auditives.
Combien ça me coûte ?
Vous n’avez aucun frais à avancer. La dépense est prise en charge à 100 % par votre organisme d’assurance maladie.
Comment ça marche ?
Rendez-vous chez votre professionnel de santé (opticien, dentiste…). Ce dernier est tenu de vous proposer un devis pour un équipement ou des soins du 100 % santé et respecter les plafonds d'honoraires ou les prix limites de vente fixés par les pouvoirs publics.
A noter
Pour des raisons thérapeutiques, le chirurgien-dentiste peut ne pas vous proposer des soins du 100 % santé.
Pour aller plus loin
En savoir plus sur la Complémentaire santé solidaire
En savoir plus sur l’offre 100 % santé
Choisir et déclarer son médecin traitant
En savoir plus sur la carte Vitale
Les Instants santé de la MSA
En savoir plus sur la couverture santé MSA
6 applis pour gérer sa santé
Retrouvez 6 applications et services pour bien gérer votre santé.
Aujourd’hui, les smartphones ne sont pas seulement des outils de communication, mais aussi de véritables assistants pour prendre soin de sa santé. Avec une multitude d'applications disponibles, il est désormais plus facile que jamais de suivre sa santé et celle de ses proches et d'améliorer son bien-être au quotidien.
Ces applications ne remplacent pas les conseils médicaux professionnels, mais elles peuvent compléter votre routine de santé et vous aider à adopter des habitudes de vie plus saines. Essayez quelques-unes de ces applications pour découvrir celles qui fonctionnent le mieux pour vous et vous accompagner dans votre parcours vers une meilleure santé et un bien-être général.
1. Mémo Santé Enfant
Organisation des rendez-vous, suivi des traitements, maux du quotidien… Suivre la santé de ses enfants est une affaire sérieuse et qui demande du temps. Penser à tout n’est pas toujours une mince affaire... Avec Mémo Santé Enfant, vous êtes sûr de ne rien oublier ! Développé par la MSA, Mémo Santé Enfant est un aide-mémoire en ligne pour les événements santé importants de la vie de votre enfant : visites médicales, vaccins et rappels, suivi de la croissance, etc. C’est aussi des conseils santé personnalisés selon l’âge de vote enfant. Pour bénéficier des fonctionnalités de Mémo Santé Enfant, il vous suffit de créer votre compte. Et c’est gratuit !
2. Mon espace santé
Mon espace santé est aujourd’hui l’outil qui se rapproche le plus d’un véritable carnet de santé numérique. Cette plateforme en ligne, proposé par l’Assurance Maladie et le ministère de la Santé, vous permet de conservez vos documents de santé en toute sécurité : ordonnances, résultats d’analyses, comptes rendus de radiologie et les partager avec les professionnels de santé qui vous soignent. Au-delà du dossier médical, ce service donne accès à une messagerie sécurisée qui vous permet d’échanger des messages et partager des documents avec votre professionnel de santé.
Vous pouvez également y retrouver à tout moment vos ordonnances au format numérique. Mon espace santé met également à votre disposition des sites et applications de confiance, référencés par les pouvoirs publics pour suivre et préserver votre santé. Pour bénéficier des fonctionnalités de Mon espace santé, il vous suffit d’activer votre compte.
3. Freestyle Diabète
Cette application est conçue pour accompagner les personnes atteintes de diabète dans la gestion de la maladie au quotidien. Elle vous permet de saisir et de suivre facilement vos taux de glycémie tout au long de la journée. Vous pouvez également partager facilement ces données à vos proches et vos professionnels de santé.
Freestyle Diabète est une application mobile développée par Abbott, une société spécialisée dans les produits de santé, notamment dans le domaine du diabète.
> Télécharger Freestyle Diabète
4. VIDAL Ma santé
VIDAL Ma santé est l’application qui vous accompagne dans le suivi de vos traitements au quotidien. Depuis l’application, vous pouvez scanner un médicament, accéder directement à toutes les informations le concernant et vérifiez si celui-ci est compatible avec votre traitement. Vous bénéficiez également de rappels pour ne plus oublier de prendre vos médicaments et pour vous notifier de l’expiration de vos ordonnances.
L'application VIDAL Ma santé est un outil développé par VIDAL, une entreprise spécialisée dans l'information sur les produits de santé et les médicaments.
5. My S Life
L’application My S Life est un outil de prévention en santé intime et sexuelle des femmes. L’application vous donne les clés pour mieux prendre en charge votre santé intime en délivrant des pistes de réponses sur les symptômes physiques et mentaux, des conseils de prévention (dépistage, nutrition et sport) et d’orientation dans le parcours de soin. Vous bénéficiez d’un parcours personnalisé en fonction de votre profil ainsi que de l’information sous différents formats : vidéos, podcasts, articles, infographies, rediffusions de masterclass, guides, quiz, etc. Une équipe de sage-femmes est disponible du lundi au vendredi pour vous apporter en moins de 24h des réponses fiables et personnalisées.
6. Tabac info services
L’application Tabac info services vous accompagne dans votre démarche d’arrêt du tabac en vous fournissant un soutien personnalisé, des outils pratiques et des ressources utiles tout au long de votre parcours. Vous y trouvez de nombreuses informations pour bien choisir votre méthode d’arrêt (avec des substituts nicotiniques, la cigarette électronique ou encore d’autres méthodes), pour vous aider à gérer votre poids ou sur d’autres inquiétudes que vous pouvez avoir lors de l’arrêt du tabac.
L'application Tabac Info Service est une application mobile proposée par le Ministère des Solidarités et de la Santé en France.
> Téléchargez Tabac info services
Pour plus d’applications et de services, consultez le catalogue de services de Mon espace santé.
J'ai des difficultés à payer mon loyer
Vous faites face à des difficultés pour payer votre loyer ? Ces situations peuvent être sources de stress et d'incertitude. Pour vous décharger de ce poids, plusieurs options s'offrent à vous, notamment en matière d'aides sociales et d'accompagnement financier. Voici quelques conseils.
Trouver une solution avec son bailleur
Tout d’abord, en cas de difficultés ponctuelles ou durables, il est recommandé de contacter votre bailleur ou votre agence immobilière pour envisager des solutions telles que des reports de paiement, des échéanciers adaptés ou des aides financières spécifiques.
Communiquez rapidement et expliquez votre situation
Dès que vous identifiez des difficultés financières, informez immédiatement votre bailleur. La communication ouverte peut souvent aider à éviter les malentendus et à trouver des solutions plus facilement et surtout, plus rapidement.
Soyez transparent sur votre situation financière. Expliquez à votre bailleur les raisons de vos difficultés et fournissez des informations détaillées sur votre situation actuelle.
Proposez un plan de paiement
Si vous ne pouvez pas payer le loyer en totalité, proposez un plan de paiement réaliste à votre bailleur. Peut-être pouvez-vous convenir de payer le loyer en plusieurs versements échelonnés sur quelques mois. La volonté de vouloir trouver une solution à ce problème peut rassurer votre bailleur sur votre motivation à lui payer le loyer dû.
Demandez une réduction temporaire du loyer
Si vos difficultés financières sont temporaires, vous pouvez demander une réduction temporaire du loyer jusqu'à ce que votre situation s'améliore, tout en indiquant à votre bailleur cette temporalité.
Considérez la renégociation du bail
Si vos difficultés financières perdurent, discutez avec votre bailleur de la possibilité de renégocier les conditions de votre bail. Cela pourrait impliquer une réduction permanente du loyer ou un changement des termes du bail.
Mettez tout par écrit
Pour éviter les malentendus, assurez-vous de mettre par écrit tous les accords convenus avec votre bailleur. Cela peut inclure un plan de paiement, une réduction temporaire du loyer ou toute autre entente spécifique.
Explorez les options d'aide financière
Renseignez-vous sur les programmes d'aide au logement disponibles dans votre région. Vous pourriez être admissible à des programmes d'aide gouvernementaux ou à des fonds d'urgence locaux. Sachez également que la MSA peut, sous conditions, vous faire bénéficier d’aides au logement telle que l’APL.
Consultez des ressources locales
Si vous avez des difficultés à trouver une solution avec votre bailleur, recherchez des organisations locales ou des services sociaux qui pourraient vous aider à trouver des ressources supplémentaires ou à médier dans la situation.
Vous pouvez contacter la Commission départementale de conciliation (CDC). Cette dernière aide gratuitement propriétaire (bailleur) et locataire à trouver une solution à l’amiable à leur litige.
En parallèle, des dispositifs d'aide existent pour vous soutenir dans ces moments difficiles.
L'Aide départementale à l'information sur le logement (Adil) : une aide juridique gratuite
L'Adil offre des conseils juridiques, fiscaux et financiers sur les problématiques liées au logement. Les conseillers de l'Adil peuvent vous aider pour les litiges locatifs, les droits et devoirs des locataires et des propriétaires, les aides au logement…
Vous pouvez contacter le numéro SOS loyers impayés au 0805 16 00 75, du lundi au vendredi (appel et service gratuits).
> Je cherche une Adil près de chez moi
L’Aide personnalisée au logement (APL) : une aide pour payer son loyer
La crainte de ne pas pouvoir payer son loyer tous les mois peut générer du stress et de l'angoisse. Les retards de paiement ou les risques d'expulsion viennent s'ajouter à cette précarité financière déjà existante.
L'APL est une aide financière destinée à réduire le montant de votre loyer.
Qui peut en bénéficier ?
Pour être éligible à l'APL, vous devez être locataire, résider en France de manière stable, et vos ressources ne doivent pas dépasser certains plafonds.
Quel est le montant ?
Le montant de l'APL dépend de plusieurs facteurs, notamment vos revenus, la composition de votre foyer et le montant de votre loyer ou de vos mensualités de prêt.
Comment en bénéficier ?
Depuis le portail mesdroitssociaux.gouv.fr, vous avez la possibilité de vérifier si vous avez droit à l’APL et effectuer votre demande directement en ligne.
> Je vérifie si j’y ai droit et fais ma demande
Le Fonds de solidarité pour le logement (FSL) :
Le Fonds de solidarité pour le logement (FSL) est un dispositif d'aide financière proposé par votre département de résidence.
Qui peut en bénéficier ?
Il s’agit d’une aide ponctuelle aux personnes et aux familles en difficulté pour payer leur loyer, leurs charges locatives, leurs factures d'énergie ou pour faire face à des dépenses liées à leur logement.
Quel est le montant ?
Son montant dépend de vos ressources et varie selon votre département.
Comment en bénéficier ?
Rapprochez-vous des services sociaux de votre mairie ou de votre Conseil départemental.
Action logement : un organisme qui facilite l’accès au logement
Action Logement facilite l'accès au logement pour les salariés en France. Anciennement connue sous le nom de « 1 % Logement », elle propose différentes solutions pour favoriser l'accès au logement, notamment des aides financières pour l'accession à la propriété, la location, les travaux d'amélioration ou d'adaptation du logement, ainsi que des garanties de loyers impayés pour les locataires.
- Loca-Pass : cette aide permet de garantir le paiement du dépôt de garantie demandé par le propriétaire lors de la signature d'un bail de location. Elle peut également prendre en charge les frais de première installation dans un logement locatif (frais d'agence, de déménagement, etc.).
- Avance Agri Loca-Pass : vous pouvez bénéficier d’un prêt à taux 0% pour couvrir le montant de votre dépôt de garantie, généralement requis lors de la signature du bail.
- Mobili-Pass : cette aide peut couvrir une partie des frais liés à un déménagement professionnel, tels que les frais d'agence, de location de véhicule utilitaire, ou encore les frais d'hébergement temporaire.
- Garantie Visale : ce dispositif de cautionnement vous permet de bénéficier d'une garantie de loyer en cas d'impayés. Il s'adresse notamment aux jeunes de moins de 30 ans, aux salariés précaires ou en situation de mobilité professionnelle.
- Agri Mobili-Jeune : destinée aux jeunes de moins de 30 ans en formation en alternance ou en stage, cette aide, pouvant aller jusqu’à 300 € prend en charge une partie du loyer.
- Aide aux saisonniers agricoles : cette aide pouvant atteindre 600 € prend en charge vos frais de logement.
Ces aides sont soumises à des conditions d'éligibilité et sont attribuées sous réserve de disponibilité des fonds. N'hésitez pas à vous renseigner auprès d'Action Logement ou de votre entreprise pour connaître les modalités d'accès et les démarches à suivre.
> En savoir plus sur Action logement
Pour aller plus loin :
Les aides au logement de la MSA
Le site internet d’Action logement : actionlogement.fr
Le site internet de l’Anil : anil.org
5 conseils pour votre recherche d’emploi
Il existe de nombreux dispositifs pour accompagner les personnes qui cherchent du travail. Selon votre situation, n’hésitez pas à les solliciter. Il est aussi utile d’adopter de bonnes pratiques pour mettre toutes les chances de votre côté, lorsque vous envoyez une candidature ou passez un entretien.
1. Solliciter les structures adaptées
Première étape : s’inscrire à France Travail (ex Pôle Emploi) : un conseiller vous sera attribué et vous pourrez peut-être toucher l’allocation d'aide au retour à l'emploi (ARE).
Pour savoir comment s’inscrire à France Travail
À savoir, France Travail n’est pas l’unique structure en mesure de vous accompagner, d’autres dispositifs existent :
- Si vous avez entre 16 et 25 ans et que vous avez besoin d’un accompagnement personnalisé pour réfléchir à votre orientation, trouver un emploi ou une formation… vous pouvez vous tourner vers une Mission locale. Rendez-vous sur l’annuaire des Missions locales pour trouver la plus proche de chez vous. Pour les jeunes de 16 à 25 ans qui ont quitté tôt le système scolaire ou qui ont le Bac, un BEP ou un CAP, les écoles de la deuxième chance (les écoles E2C) peuvent être une bonne option : ces structures proposent un accompagnement pour découvrir des métiers, effectuer des stages, consolider des compétences, et construire un projet professionnel solide. Cela peut être un véritable tremplin pour entrer dans la vie active. Rendez-vous sur le site du réseau des E2C pour en savoir plus.
- Si vous êtes reconnu en tant que travailleuse ou travailleur en situation de handicap, les structures Cap Emploi vous sont dédiées. Il existe également des salons ou des forums réservés aux personnes en situation de handicap, certains sont en ligne et en partenariat avec des employeurs engagés pour l’inclusion, comme ceux proposés par hellohandicap.fr.
- Certaines villes ou collectivités locales disposent de Maisons de l’emploi. Cela peut être intéressant de s’y rendre pour être conseillé, participer à des ateliers, se renseigner sur les partenariats locaux avec des employeurs ou participer à des salons… Il en existe 78 en France, listées sur service-public.fr.
- Si vous avez le statut de cadre ou que vous êtes un jeune diplômé (bac + 3 minimum), vous pouvez solliciter l’association pour l'emploi des cadres (Apec), qui propose un accompagnement de qualité, sur mesure.
- Si vous cherchez un emploi dans le secteur de l’artisanat ou que vous êtes en recherche d’information sur des métiers artisanaux ou des formations en lien, n’hésitez pas à vous tourner vers les Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA). Rendez-vous sur l’annuaire des CMA pour trouver la plus proche de chez vous.
2. Se tourner vers les associations
Certaines associations nationales ou locales sont spécialisées dans l’accompagnement des demandeuses et demandeurs d’emploi. C’est le cas par exemple de « Solidarités nouvelles face au chômage », qui propose un appui gratuit et personnalisé, sans limite de temps. Cette association fédère un réseau de 167 groupes de solidarité à travers le territoire et conseille aussi par téléphone. Rendez-vous sur leur site pour en savoir plus.
L’association Activ’ Action propose quant à elle des ateliers gratuits et collaboratifs en ligne ou en présentiel autour de thèmes comme « Comment développer son réseau ? » ou « Gagner en aisance à l’oral »... Rendez-vous sur leur site pour trouver le programme des ateliers et s’inscrire.
Si vous êtes une femme et que vous avez 45 ans ou plus, l’association Force Femmes peut peut-être vous intéresser. Elle propose un accompagnement gratuit et personnalisé, ainsi que des webinaires, des ateliers… Plus d’infos sur leur site.
De manière générale, n’hésitez pas à vous renseigner sur les associations locales d’aide à l’emploi auprès de votre commune, d’un travailleur social ou des conseillers France Travail ou en Maison de l’emploi. Cela vous permettra de bénéficier d’accompagnements supplémentaires et aussi de rencontrer et d’échanger avec d’autres personnes en recherche d’emploi.
3. Bien se renseignez-vous sur les aides
Que vous souhaitiez faire un bilan de compétences pour réfléchir à vos aspirations et trouver le métier qui vous correspond le plus, ou que vous ayez un souci lié à votre mobilité (moyen de transport, déménagement…) ou à des freins financiers, n’hésitez pas à vous renseigner sur les aides que vous pourriez solliciter.
France Travail propose par exemple des aides au permis ou au déplacement. En savoir plus sur ces aides.
A noter, une aide à la garde d’enfants (AGE) existe sous conditions pour les parents isolés, qui reprennent un emploi ou une formation. En savoir plus sur l’AGE.
Pensez aussi à bien vérifier vos droits à la formation via votre Compte personnel de formation (CPF).
De manière générale, n’hésitez pas à questionner vos conseillers ou les personnes qui vous accompagnent sur les aides que vous pourriez solliciter. Il existe aussi des dispositifs comme les contrats d’insertion, qui peuvent être intéressants pour les personnes éloignées de l’emploi, cela vaut peut-être le coup de se renseigner. Vous pouvez aussi estimer vos droits sur mesdroitssociaux.gouv.fr.
4. Chercher selon son secteur
La recherche d’emploi ne s’effectuera pas de la même manière selon le secteur où vous recherchez. Dans le secteur agricole par exemple, certains sites sont à privilégier comme celui de l’Association Nationale pour l’Emploi et la Formation en Agriculture (Anefa). Vous pouvez aussi regarder du côté de jobagri.com. Pour gagner en efficacité, essayez de vous inscrire sur plusieurs sites, vous pouvez aussi demander de recevoir des notifications quotidiennes sur les annonces publiées.
Dans certains secteurs comme le tertiaire, il peut être intéressant d’investir le réseau social LinkedIn, où circulent de nombreuses offres, cela permet aussi d’entretenir son réseau professionnel.
Dans tous les cas, ne négligez aucune piste : lorsque l’on est en recherche d’emploi, il ne faut pas hésiter à chercher en ligne, à se rendre à des salons ou à des forums de l’emploi, mais aussi à faire des candidatures spontanées si l’employeur vous intéresse particulièrement, ou encore à en parler un maximum autour de vous afin de profiter du bouche-à-oreille ou des réseaux de vos proches. Et si vous pensez ne pas avoir de réseau, tournez-vous vers des associations spécialisées dans l’accompagnement vers l’emploi, qui proposent un soutien en la matière et de bons conseils.
5. Adopter de bonnes pratiques
Pour donner toutes les chances à votre candidature, cela commence dès le CV.
- Il doit être clair et efficace, car un recruteur ne passe en général que quelques secondes sur un CV : il faut qu’il puisse en faire une lecture rapide, tout en repérant facilement les points forts de votre candidature. Des modèles existent sur des logiciels de traitement de texte que vous pouvez reprendre. Vous pouvez aussi utiliser des outils de création graphique en ligne gratuits. Evitez les CV surchargés ou avec des couleurs trop criardes. Si vous mettez une photo, choisissez-en une qui vous met en valeur. Attention aux CV à rallonge : une page suffit généralement.
- Le plus important est de bien hiérarchiser les informations, de faire ressortir les plus importantes, et de bien lister votre formation, vos expériences et vos compétences. N’hésitez pas à ajouter un titre à votre CV pour indiquer le type de poste que vous recherchez.
- Si vous avez besoin de conseils, parlez-en aux structures qui vous accompagnent pour être orienté vers un atelier ou du conseil personnalisé. N’hésitez pas à le faire relire autour de vous afin d’éviter les fautes d’orthographe ou de frappe.
En ce qui concerne la fameuse lettre de motivation : pour certaines entreprises, un simple mail exprimant vos motivations, accompagné du CV suffit, cependant, certaines structures l’exigent encore.
- Si vous devez en rédiger une, évitez de répéter dedans ce que vous dites déjà dans votre CV. La lettre de motivation sert surtout à démontrer votre envie de postuler, alors n’hésitez pas à vous renseigner sur l’endroit où vous candidatez, et à expliquer pourquoi vous êtes intéressés, à citer des chiffres ou des informations sur l’entreprise.
- Evitez d’envoyer la même lettre partout, cela se remarquera. Vous pouvez avoir une base, à adapter selon les candidatures. Profitez de cette lettre pour décrire une mission ou un projet que vous avez mené et qui est en adéquation avec le poste que vous visez.
- Si vous êtes en panne d’inspiration, vous pouvez faire appel à une intelligence artificielle, mais ne l’envoyez pas telle quelle, mieux vaut la personnaliser un peu.
Si vous êtes retenu pour un entretien, voici quelques conseils pour renvoyer une bonne image et laisser une bonne impression :
- Relisez bien l’offre d’emploi avant l’entretien, c’est important de bien l’avoir en tête. Le recruteur vous demandera surement d’expliquer ce que vous avez compris du poste.
- Avant l’entretien, pensez à vous entrainer : le recruteur vous demandera de vous présenter et de décrire votre parcours, mieux vaut préparer ce moment pour ne pas être pris de court.
- Arrivez à l’heure ou un peu en avance et surtout ne soyez pas en retard.
- Soyez honnête, rien ne sert de mentir cela pourrait se retourner contre vous. Eviter aussi de parler de vos expériences négatives, concentrez-vous plutôt sur le positif et si vous devez évoquer des difficultés, essayez de mettre en avant comment cela vous a permis d’évoluer ou ce que vous avez pu en apprendre.
- Ne parlez pas trop vite des questions de salaire et de congé, commencez plutôt par vos motivations.
- N’hésitez pas à poser des questions au recruteur, vous pouvez par exemple demander « ce qui lui plait dans l’entreprise ou dans son travail », cela vous permettra de vous donner une idée de l’ambiance de travail. Un entretien sert aussi à savoir si vous vous sentez en adéquation avec le poste et les valeurs de l’employeur.
- Si vous avez apprécié l’entretien, envoyez un mail de remerciement après l’entretien, vous pouvez aussi préciser un point abordé durant l’entretien au besoin. Cela est très apprécié des recruteurs.
Chercher un emploi demande de la persévérance, mais avec un bon accompagnement et de l’organisation, vous maximisez vos chances de trouver le poste qui vous conviendra. N’hésitez pas durant cette période à vous réserver des temps pour vous, les personnes en recherche d’emploi bénéficient de tarifs avantageux, pour les musées ou la piscine notamment, cela vous permettra de recharger vos batteries.